Monday, March 5, 2012

le café

Quand j'étais plus jeune (même plus jeune que maintenant), mon petit frère a versé une grand tasse de café sur mes genoux. Ça à brûlé comme vous ne le croyerez pas. À cause de cet accident, mes parents ont dû me prendre à l'hôpital immédiatement. Dans la voiture (une ancienne Renault Alpine rouge) j'ai crié au sommet de mes poumons:
-- Maman! Merde que ça fait mal!
-- On arrive Guillaume, t'inquiète pas!
-- Mais je pense que je vais mourir!!!
-- ...
On a arrivé à l'hôpital vers 15h. Le café (celui dont les restes étaient sur ​​mes genoux) avait appartenu à la petite amie de mon frère aîné, Vanessa (la petite amie). J'ai adoré Vanessa. Ses cheveux, sa voix, et surtout la façon dont elle a bu son café. C'était pour ça -- même plus encore que le fait que j'avais probablement perdu la capacité d'avoir des enfants en raison de son café -- que j'étais si bouleversé. Cet acte simple de mon petit frère -- dans mon opinion -- a tout simplement insisté sur le fait que mon petit frère et moi étions enfants. Et ce -- comme un enfant -- serait toujours comment Vanessa me verra.
Deux semaines plus tard, la douleur physique avait disparu. Mais les cicatrices émotionnelles allait rester avec moi pour toujours.


Plus tard cet été-là, mon frère a rompu avec Vanessa. Je savais qu'elle travaillait au café du coin, mais je ne pouvais pas laisser mon frère me voir là. Donc, j'ai commencé à y aller aussi souvent que je le pouvais, quand il n'était pas là. Et voilà comment j'ai commencé à boire du café.


(pas vraiment)...

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